Etudiante en M1 Droit des affaires et PERDUE

Bonjour, je suis actuellement étudiante en M1 droit (mention droit des affaires).

Je suis certaine que je n'arriverai pas à intégrer un master 2 DJCE : je n'ai pas fait de stages, mes notes depuis la L1 ne vont pas au delà de 11,50

Bref, un dossier plus que banal et aucune aspiration professionnelle particulière d'autre part.

J'ai toujours été intéressée par un autre domaine : le journalisme. Malheureusement, je crains qu'il est trop tard pour tenter de l'intégrer : entre les concours d'une très grande difficulté et les formations commençant obligatoirement par un M1..

je pense que d'autres étudiants sont dans un cas similaire? Je suis très simplement à la recherche "d'inspiration" en ce qui concerne mon orientation... Alors que ce soit du vécu ou juste des projets, n'hésitez pas à me faire connaître votre expérience.

Bonjour,

Le DJCE n'est pas une fin en soi, n'est un gage de niveau que sur le papier, et il existe un vie en dehors (heureusement!).

En M1 les études commencent a vous diriger vraiment vers les métiers du juridique et du judiciaire.

Je ne vais pas vous refaire la liste traditionnelle de ces métiers, je pense que vous les connaissez quand même un peu (juristes de collectivité, banque, entreprise, recouvrement, d'association, juge, greffier, avocat, notaire, huissier, prof de droit etc...)

Donc une première question à se poser c'est : voulez vous faire du droit? Car c'est bien vers cela que a priori vous vous dirigez.

Si le droit ne vous tente pas, alors il faudra se renseigner sur les filières qui complètent le droit, et apporte un plus afin de faire autre chose tout en valorisant vos connaissances juridiques(gestion de patrimoine, management, immobilier, vendeur, assurance sur le plan commercial, finance...) ce ne sont que des idées.

Si vous voulez vraiment être journaliste pourquoi ne pas poursuivre ce rêve? Vous serez sans doute plus inspirée.

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"En droit, comme en tout, les connaissances ne sont rien, sans curiosité, intelligence, réflexion et imagination." Jean Louis Bergel