Bonjour à vous !
Voici le premier sujet de disserte que j'ai à vous soumettre: le principe de masculinité. Bien que je sente parfaitement où la dissertation veut nous mener et que les informations sur le sujet soient plus que suffisantes, j'ai un mal fou à la mettre en forme. Pour le moment, mon plan donne ça :
I) L’ hégémonie masculine
a. Une filiation patrilinéaire
b. L’importance capitale du Nom ( ==> Partie qui me pose le plus de problèmes ).
II) L’exclusion totale de la femme de la vie politique
a. Un statut qui se dégrade progressivement
b. Cas particulier ( Anne de Kiev, Blanche de Castille )
J'ai conscience que certaines notions indispensables tels que l'adage d'origine romaine nemo dat quod non habet (« personne ne transmet ce qu'il n'a pas ») ainsi que les lois saliques doivent aussi apparaître .... ( en les intégrants dans le I) a) ).
L'histoire n'est vraiment pas mon point fort et on me reproche sans cesse de faire du hors sujet....
C'est pourquoi j'implore votre bonté sans limite et votre intelligence aiguisée pour m'aiguiller ne serait-ce qu'un peu sur la bonne voie ....
Merci d'avance
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- Une signature ? Bah, j'la frais plus tard ! -
Ah bah oui ! Veuillez m'excuser !
En vous évitant la totalité de mon intro ( pas très intéressante soit dit en passant ), la problématique donne à peu près :
" On se questionnera alors ici sur les sources du principe masculinité au niveau de la royauté française, ainsi que sur les effets de ce dernier sur les mentalités de l'époque".
Je reconnais que c'est vraiment ballot, mais comme je l'ai dit plus haut, l'histoire des institutions est vraiment ma 'bête noire' ....
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- Une signature ? Bah, j'la frais plus tard ! -
Ton plan n'est pas assez explicite. Ta première partie me semble peu pertinente et surtout tu risques d'être fort ennuyé pour la compléter.
D'ailleurs, d'une façon générale, il me semble que ton plan ne réponde pas à a problématique du sujet puisque tu étudies la période - me semble-t-il - ante loi de masculinité. Celle-ci apparaît après la période que tu abordes dans ton plan...
Il faut que tu partes du "miracle capétien", période pendant laquelle on ne se posa jamais de question puisqu'il existait à chaque fois un mâle pour succéder au trône. Or, en 1316, premier hic. Puis 1328, deuxième hic. C'est là qu'est dégagée progressivement la loi de masculinité appelée aussi... loi salique. Il faut que tu étudies les arguments en faveur et contre la succession des différents au trône en 1316 et 1328, sans oublier les querelles doctrinales et la justification doctrinale de l'exclusion des femmes et des descendants par les femmes de la succession au trône (cf. Richard Lescot en 1358).
Si tu as besoin d'indications, n'hésite pas.
Merci à toi Cynus ! Mais j'ai déjà beaucoup travaillé le sujet et j'aivais remarqué la quasi totalité de ce que tu viens de dire. J'ai aussi mis en avant l'histoire de Jeanne de Navarre pour mieux illustrer le tout.
J'espère être dans le bon au final !
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- Une signature ? Bah, j'la frais plus tard ! -
ça serait bien Tallion, ton idée, maintenant que je n'ai plus de TD, je suis un peu, beaucoup moins bonne. C'est vrai, que l'on vous craint un peu les chargés de TD, parce qu'il y en a qui sont stressants et cassants.
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Jean Foyer : « Le juge de l’administration : l’administration de ce juge. »
"Juger l’administration c’est encore administrer ».
http://www.u-clermont1.fr/
-université d'excellence dans le magazine "Challenge" de juin 2009-
Le principe de masculinité en ligne directe a commencé avec Eudes père d'Hugues Capet quoiqu'il soit élu. Pour garder le pouvoir, les Capétiens nommèrent de leurs vivants, leur fils aîné. Ce principe de masculinité s'éteint avec le dernier frère de Charles IV le bel qui n'avait que des filles. La couronne de France passa alors à la branche des Valois pour garder ce principe de masculinité.
Tallion ou Cyrius comment c'est au fait l'adage sur les femmes, je sais que ça se termine par "quenouille". Vous voyez dès que j'ai un chargé de TD ou un prof que cela soit par écrit, oral ou même en ligne, je me bloque complètement. Qu'est-ce que je peux faire pour ça ?
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Jean Foyer : « Le juge de l’administration : l’administration de ce juge. »
"Juger l’administration c’est encore administrer ».
http://www.u-clermont1.fr/
-université d'excellence dans le magazine "Challenge" de juin 2009-