Imaginons un univers médiéval fantastique comme il en existe des milliers et surtout une culture polythéiste.
Considérant la divinité tutélaire de la Loi et de l'Ordre, classiquement opposée à la divinité du Chaos.
Quels pouvoirs donneriez-vous aux prêtres qui servent ce dieu de la Loi ?
J'ai émis les suggestions suivantes :
- un sort de divination permettant, dès qu'il arrive dans une société inconnue, de connaître les principes de la société afin d'éviter les bourdes Et aussi de connaître les rouages et principes légaux de la société en question;
- en considérant que c'est son dieu qui donne les caractéristiques naturelles aux créatures et objets, un sort qui permette de supprimer les altérations de l'état initial;
- les sorts qui permettent de se repentir, de revenir dans le droit chemin,
puis je bloque un peu
*trop la honte*
Vous auriez des suggestions amusantes ?
Merci ^^
(après, faudra parler du dieu de l'Amour ) (compassion, pardon, sacrifice ... )
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Quand le juriste se lasse d’empiler des textes dont l’encre est à peine sèche, de réconcilier des dispositions qui se contredisent ou, tout simplement, de s’échiner à leur donner un sens, vient un moment où, guetté par le découragement, il laisse son sac au bord du chemin, s’arrête et se pose la question fondamentale, la seule qui vaille : tout cela est-il bien raisonnable ? (A. Lucas)
Tu veux inventer un nouveau JDR?
Le dieu du charme (y compris érotisme et manipulation) a déjà été géré : j'étais bien plus inspirée
Pour l'anecdote : on refait les domaines de prêtre pour jouer à donjons et dragons, parce qu'on trouvait les domaines proposés en 3ème édition et par paizo pas terribles
Travail de dingue !! On a déjà revus tous les dons et tous les sorts
ps : merci yann ^^ je vais revoir le coté "endormir les foules"
Ce qui est super difficile, c'est que Loi et Ordre, c'est nonobstant (ouaip, je l'ai casé !!) la notion de Bien ou de Mal qui sont les "sous-composantes" des alignements.
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Quand le juriste se lasse d’empiler des textes dont l’encre est à peine sèche, de réconcilier des dispositions qui se contredisent ou, tout simplement, de s’échiner à leur donner un sens, vient un moment où, guetté par le découragement, il laisse son sac au bord du chemin, s’arrête et se pose la question fondamentale, la seule qui vaille : tout cela est-il bien raisonnable ? (A. Lucas)
J'adorerais jouer un diplomate ou un consul avec des caractéristiques genre ordre, loi, connaissance des usages
Faut pas se caler sur les règles : on est surtout en panne d'idées. Ce type de concepts ne sont pas simples du tout à retranscrire.
Surtout qu'on a scindé la Justice (qui là a une orientation bénéfique) et la Loi (qui est strictement neutre).
Tes idées sont en cours de macération par l'esprit de mon cher amoureux qui va tâcher de les transposer dans un sort ^^
Pour les inspirés :
- Loi et Ordre
- Justice
- Ombre
- Amour (pas l'érotisme, mais l'Amour en tant que vertu)
Je vous en citerai quelques autres, je pense qu'on a encore une quinzaine de thèmes à traiter
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Quand le juriste se lasse d’empiler des textes dont l’encre est à peine sèche, de réconcilier des dispositions qui se contredisent ou, tout simplement, de s’échiner à leur donner un sens, vient un moment où, guetté par le découragement, il laisse son sac au bord du chemin, s’arrête et se pose la question fondamentale, la seule qui vaille : tout cela est-il bien raisonnable ? (A. Lucas)
Je vais essayer de penser à d'autres choses, ça vaut ce que ça vaut.
Si la Loi et l'Ordre sont neutres, ils ne risquent pas de court-circuiter la Justice ? La Loi et l'Ordre seraient les choses telles qu'elles devraient être dans l'ordonnancement immuable alors que la Justice en serait une altération. Du coup un prêtre utilisant la Justice aurait besoin de plus d'énergie pour contre-balancer l'ordre non ? A moins d'y adjoindre le service d'une deuxième divinité, comme l'Amour.
Pour l'Ombre, je verrais bien une faculté de percevoir les secrets : secrets -> obscurité -> mystère -> connaissance d'initié. Qu'il s'agisse d'un secret utile ou d'un secret destiné à torturer son détenteur. Mais aussi une faculté d'envoyer quelque chose de manière dissimulée : des doutes, une illusion, une maladie mentale ou physique. Après, il peut y avoir plusieurs façons d'utiliser l'ombre, et donc des difficultés : le prêtre peut se faire repérer par exemple, donc rater en partie son but même s'il a les infos qu'il cherchait, puisque la personne touchée est au courant.
Pour l'Amour, abnégation, compassion, altruisme, acceptation du destin, courage. Ca rappelle des sorts pour sauver une âme, pour décider un indécis ou rafermir la volonté d'un individu ou d'un groupe défaillant, ou encore endormir la méfiance.
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