Peut-on tout pardonner ?

Question du jour : Peut-on tout pardonner, par amour ?

Oui, c'est d'ailleurs la différence entre le pardon et l'excuse.

Excuser, ça veut dire qu'on a compris, que c'est pas trop grave, ça passe.

Pardonner exige un sacrifice, un véritable effort qui ne peut, à mon sens, n'être consenti que par amour.

Bisou ^^

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Quand le juriste se lasse d’empiler des textes dont l’encre est à peine sèche, de réconcilier des dispositions qui se contredisent ou, tout simplement, de s’échiner à leur donner un sens, vient un moment où, guetté par le découragement, il laisse son sac au bord du chemin, s’arrête et se pose la question fondamentale, la seule qui vaille : tout cela est-il bien raisonnable ? (A. Lucas)

Pour moi on peut pardonner par amour, comme dit Kem. Mais pas tout, dans le sens où les blessures, même cicatrisées, peuvent faire à nouveau mal. Que ce soit dans une relation amoureuse, sentimentale, amicale, je suppose qu'il y a une limite calquée sur l'individualité de chacun et un certain sursaut de personnalité.

Qu'est-ce qui se passe pipou, tu as des problèmes ?

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*Membre de la BIFF*

non, pas vraiment, je me pose certaines questions des fois

Bonjour,
Ou alors, comme disait je ne sais plus qui, peut-être Michel Audiard par grand écran interposé : "Moi, je flingue d'abord, ensuite je pardonne..."


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Hors Concours

On peut toujours pardonner, pourquoi, rester sur une rancune tenace.

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Jean Foyer : « Le juge de l’administration : l’administration de ce juge. »
"Juger l’administration c’est encore administrer ».


http://www.u-clermont1.fr/
-université d'excellence dans le magazine "Challenge" de juin 2009-

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pataphysique

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Quand le juriste se lasse d’empiler des textes dont l’encre est à peine sèche, de réconcilier des dispositions qui se contredisent ou, tout simplement, de s’échiner à leur donner un sens, vient un moment où, guetté par le découragement, il laisse son sac au bord du chemin, s’arrête et se pose la question fondamentale, la seule qui vaille : tout cela est-il bien raisonnable ? (A. Lucas)