bo njour,
je dois triater la notion de non intervention en definissant le contenu, analyser l'evolution et refdlechir sur sa pertinence.
j'ai donc trouvé une definition qui met en relation la souverianeté de l'etat et ce prinicpe. mais je n'arrive pas a trouver la génése de celle ci. j'ai trouvé l'arret de la cij detroit de corfou de 1949 et celui de nicaragua contre etats unis selement je n'arive aps a trouver mleurs contenu... quelqun pourrait il m'aiguiller.
ensuite dans divers manuel j'ai pu constater que cette notion etait mise en oppositionj avec le droit d'ingerence humanitaire... or la je ne comprends comment ils peuvent les opposer puisque pour moi l'un entraine l'autre... si quelqun pouvait m'expliquer la diference entre ces deux otions....
enfin quelles sont les circonstances qui permettent de de violer ce droit d'ingerence?
en vous remerciant par avance!!!
céline
[url:24zq7h5i]http://www.icj-cij.org/cijwww/cdecisions.htm[/url:24zq7h5i]
Tu devrais trouver ce que tu cherches... Détroit de Corfou c'est 1947 pas 49.
Par contre relis toi, les fautes de frappes rendent très difficile ta lecture.
Pour l'opposition droit d'ingérence et souveraineté : je dirais aussi que les deux s'opposent => Le droit d'ingérence entraine une perte de souveraineté flagrante. En effet un Etat va intervenir dans les affaires d'un autres sans son autorisation (droit d'ingérence) donc l'Etat qui subit l'ingérence ne sera plus maître de ses prérogatives régaliennes (souveraineté).
Pour ta dernière question, un bouquin de DIP te détaillera ça simplement et efficacement
C'est un peu loin dans ma mémoire tout ça, mais si je peux aider...
je viens de lire le lien que tu ma envoyé et je t'en remercie.
la notion de non intervention me pose encore probléme malheureusement !!! en fait je ne comprends pas malgrè la lecture de mon DIP que ce soit le cours et le livre comment on peut tolerer l'ingérence par rapport a la notion d'humanitaire et encore moins comment on peut déclarer la guerre et donc enfreinte la notion de souveraineté et de térritorialité alors que le pays attaqué ne s'est jamais montré hostile... je ne comprends pas comment on peux le justifier d'un point de vu juridique.
merci encore pour le lien
cél
Si le pays n'est pas hostile à l'extérieur, il peut l'être à l'intérieur pour ses habitants. De même il peut-être dangereux pour les ressortissant d'un pays X, ce pays X se sentira alors obligé d'aller protéger ses ressortissant en utilisant la force armée si nécessaire. En gros c'est ça l'idée.
d'accord dc en gros tt a attrait a la protection des ressortissant d'un pays qui se sent agrsser par un autre d'aller les "proteger".
a ce compte la pourquoi ne les rapatrie t il pas au lieu d'utiliser la force et de s'ingerer ds la souveraineté d'un autre pays si sa politique interieure ne lui convienne pas?
désolé ms ce pb m pose vraiement un pb!!
C'est souvent qu'on a affaire à un Etat totalitaire et que les ressortissants qui restent sont en général des humanitaires perdus au fin fond de la cambrousse. Donc a part aller les chercher il n'y a pas d'autre solution.
Quoqu'il en soit l'ingérence ne peut-être que temporaire.
ok merci beaucoup g presque terminé ma dissertation pourriez vous y jetter un oeil svp histoire d pas trop m planter???
merci!
Poste ton plan détaillé et on te diras ce qu'on en pense.
voila mon plan :
I La généralisation et la tentative d'institutionnalisation de la notion d'ingérence
A.L’évolution de la notion d’ingérence.
je par du moyen age et son fondement coutumier
B.L’ingérence forcé et dissuasive depuis 1988.
l'encadrement juridique du pcp malgré la reitération par l'onu du principe de non ingérence
II la notion d’ingérence : l'arme des puissants ?
A.les principaux obstacles politiques à l’affirmation d’un droit d’ingérence humanitaire.
definition et origine de la notion et les trois textes synobolique mais sans porter juridique de 1988 89 puis je parle des differents recours par la force des années 1990
B.Vers une notion à usage des puissants ?
les probleme lié a la politisation de la notion et l'instrumentalisation des humanitaires pour conclure sur le véritable problème de la notion qui est son manque de définitions rendant impossible sa concecration juridique
voilà voilà
merci