Bonjour,
Il m'a fallu insister auprès du Barreau de mon avocat pour que le bâtonnier prévienne leur société de courtage.
J'ai donc reçu une lettre de celle-ci dans laquelle elle déclare que le barreau en question est son client et que je dois envoyer mes réclamations à la commission des sinistres qui donnera son avis à
l'assureur final... que j'ignore.
Depuis mi-juillet, la soc. de courtage a mon dossier (en AR), mais ne m'a adressé aucune communication et je n'arrive pas à parler -au téléphone- au directeur de la dîte commission pour connaître les délais et leur réponse à mes interrogations :
• Quelle est la procédure exacte de la mise ne resp. civ. prof. d'un avocat ?
• Est-il normal que ce soit directement le courtier qui me contacte en premier ?
• A-t-il un délai pour répondre ? Lequel ? Puis-je lui demander ?
• A qui doit-il donner sa réponse ? A moi ou/et à l'assureur final ?
• Ai-je le droit d'exiger de connaître l'identité de l'assureur final ?
Enfin, quels sont les textes qui régissent cette mise en responsabilité un peu particulière ?
J'envisage de leur envoyer une brève lettre en A.R. les mettant en demeure de répondre à ses questions dont la plupart étaient posées en avant-propos de mon dossier. Qu'en pensez-vous ?
On dit tout autour de moi, que devant la gravité des faits reprochés, le courtier sert à pourrir la situation, à jouer la montre...
En vous remerciant à l'avance pour quelques conseils ou avis.
Bien à vous.
Nota : si j'écris ici, c'est que je ne peux me permettre de consulter un avocat, financièrement, pyschologiquement et pour des raisons faciles à comprendre...
Le courtier a comme clients plus de la moitié des barreaux de France (vérifié sur Internet).
R.L.