" Casse-toi, casse-toi alors pauvre con va... "

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Camille Intervenant

Bonjour,

Citation de Morsula :

Je viens d'imaginer Jésus prenant un bain de foule comme Sarko qui se fait insulter par un non croyant et qui réplique vivement "Bah alors casse-toi, pauvre con va" :lol:

Ben, c'est-à-dire que... proféré en hébreu ou en araméen, ça passe plus facilement. Et puis, il y a le filtrage des traductions...
Donc, ça peut facilement donner :
"Allez donc voir sur la colline s'y J'y suis. Le non croyant y alla et Il y était.
(Mt, 15:40)
"

:roll:

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Hors Concours

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mdr :))
ca me rappelle la parodie des inconnus :D

http://www.youtube.com/watch?v=bl_2lDdLesU

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"I never was someone who was at ease with happiness"

Publié par
Yann Modérateur

Depuis plusieurs jours les journaux n'arrêtent pas de parler de ce sujet. Je soumet donc à votre avis quelques éléments que j'ai pu retenir.

Tout d'abord un site internet intéressant:
http://petites-phrases.com/
Je vous laisse visiter, ça vaut le détour. Et surtout n'oubliez pas de voter pour le taux de langue de bois à chaque fois.

Ensuite j'ai entendu les réactions d'autres présidents face à des insultes et franchement je trouve que ça avait plus de gueule...

Chirac prend un bain de foule comme il les aime, soudain un quidam se place devant lui et lui lance:"connard!". Chirac ne se démonte pas, il lui tend la main et répond "Chirac".

Dans une situation similaire, de Gaule entend quelqu'un crier "mort au con", réponse qui restera dans l'histoire: "vaste programme".

Je pense qu'un président réputé pour son éloquence et sa répartie devrait être capable de trouver un bon mot du même calibre, ce qui lui aurait permis de retourner la situation à son avantage...

Publié par

Merci pour ce site, trsè intéressant :D

A part ça ce matin en anglais le prof commence le cours en nous disant qu'il va nous faire écrire des mots qu'on devra lui épeler ensuite, il précise : "ce sont les mots préférés de votre président" (il est anglais) "Scram ....ça veut dire casse toi" "Scum ...racaille" Bref on a eu droit à "pauvre", "sali" etc. :lol:

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Pas d'Avenir Mais le Sourire[img:2cgv1w9t]http://img522.imageshack.us/img522/5823/imgch0.png[/img:2cgv1w9t][/color]

Publié par

Citation de mathou :

C'est clair que la réaction est inédite...

D'un côté, le bonhomme n'a pas à s'adresser de cette façon au Président de la République. Ma consolation c'est de connaître la tête d'un malpoli afin de pouvoir éviter son voisinage.

De l'autre côté, le Président de la République est l'image d'une fonction et je n'aime pas du tout le peu de respect que M. Sarkozy manifeste à la fonction en question.

Pour moi, insulter c'est perdre en crédibilité, quelle que soit la situation. Ca veut dire qu'on n'oppose pas d'arguments et qu'en plus on en fournit à l'autre qui s'estimera victimisé parce qu'on lui a mal parlé. Insulter c'est une faiblesse.

Parfois je prends des coups de vieux dans notre époque...

je suis (pour une fois :P ) tout a fait d'accord avec toi

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M2 - DJCE de Nancy
CRFPA de Versailles

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on a un (super! lool) président qui resteras dans les annales!!!

Au moins on parle de lui, même si je ne suis pas sur qu'il le mérite!!!

Vive Moi au pouvoir!!! lol

Publié par
Kem

Il est amusant de constater le matraquage médiatique ... Quand le prince Laurent a été pris à 200 sur l'autoroute avec sa moto, y'a eu une ligne dans les journaux.

J'avoue que quand le probable futur premier ministre belge, Leterme, entonnâ la Marseillaise lorsqu'on lui demandait l'hymne nationale belge, ça a eu aussi son petit succès.

Mais pas autant que ..."ça".

C'est grave non seulement que les médias exagèrent beaucoup de choses et lui polluent la tête (au zarko) mais aussi que les gens ne marchent pas mais courrent et qu'enfin il en joue ... très mal.

C'est assez triste quand même.

Je préfère les citations célèbres de De Gaulle ou Chirac, citées plus haut (et, grr, que je voulais caser dans mon post).

Bha, j'vais être hyper généraliste et sans originalité : serait-ce la marque d'une décadence ?

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Quand le juriste se lasse d’empiler des textes dont l’encre est à peine sèche, de réconcilier des dispositions qui se contredisent ou, tout simplement, de s’échiner à leur donner un sens, vient un moment où, guetté par le découragement, il laisse son sac au bord du chemin, s’arrête et se pose la question fondamentale, la seule qui vaille : tout cela est-il bien raisonnable ? (A. Lucas)