Les prétentions politiques des parlements

Bonjour,

Pouvez vous m'indiquer des pistes concernant ce sujet de dissertation.

Merci par avance.

Tout d'abord: http://www.juristudiant.com/forum/viewtopic.php?t=242
Ensuite concernant ton sujet regarde tous nos postes relatifs à la III et IV république, l'instabilité ministérielle de l'^époque est une conséquence directe de ces prétentions politiques. Je trouve ce sujet un peu engagé, ce qui m'étonne, c'est la première fois que je vois un prof remettre en cause directement par un sujet les hommes politiques, mais bon pourquoi pas!! Il te faudra démontrer que souvent les parlementaires font passer leurs intérets, leurs carrières,... avant la nation qu'ils représentent, notament en passant des lois démagogiques uniquement pour être réélus, ou encore en s'accrochant dèsespérément à leur fonction, ce dépis de leur âge, et souvent de leur santé (quelle dévotion ), tout ça pour ne pas perdre leur "pouvoir". Les parlementaires sont là pour faire carrière plus que par souci de la nation, c'est comme ça qu'il faut comprendre le sujet.
Bien sur il ne faut pas le dire comme ça! Attache toi aux institutions: comment devient on membre du gouvernement? Les interdépendances entre le parlement et le gouvernement,....

Le sujet concerne l'époque monarchique

Ok merci de la précision, du coup oubli mon post précédent!
Et plus précisément ça concerne quelle période: l'ancien régime, la révolution, la restauration?

De mémoire tu pourrais t'appuyer sur les successifs blocages orchestrés par les parlements contre toute réforme de l'organisation judiciaire. Plus précisément celle précédent la révolution (sans oublier de rappeler que Robespierre était à la fois avocat et magistrat (d'un ordre inférieur) ce qui souligne les prétentions politiques, de constituer un pouvoir à part entière aux vues de son action active dans la chute de la monarchie).

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Tout à fait, souligne bien le fait que c'est en grande partie l'immobilisme des parlementaires, trop accrochés à leurs prérogatives qui fit chuter l'ancien régime.