Partiels histoire des institutions important !

Bonsoir,
alors voilà je suis en L1 en je passe à partir de demain mes premiers partiels. J'ai pris assez d'avance avec mes TD pour ne pas trop m'en faire mais je redoute beaucoup l'épreuve d'HDI.
Au partiel il devrait y avoir un choix entre deux textes à commenter, mais voilà le problème: j'ai eu un chargé de TD très exigeant et qui demandait presque à tous les coups des plans critiques, c'est à dire que lorsqu'il donnait une correction du texte, la plupart du temps (pour ne pas dire toujours), il critiquait le texte sans presque jamais soutenir les thèses ou théories qui y sont évoquées.

Ma question est donc la suivante: qu'est-ce que l'on attend de nous au partiel d'hdi? Est-ce que comme l'a toujours fait mon chargé de TD on attend de nous de critiquer l'ensemble du texte ou faut-il nuancer? Parce que je conçois biens que les attentes entre les chargés de TD varient beaucoup.

Donc quelles sont les principales exigences du commentaire de texte en histoire des institutions?

En espérant une réponse expresse,

Merci d'avance :)

Bonjour,

Essaye de suivre les indications fournies par ton chargé de TD, si c'est lui qui te corrige, il appréciera sûrement. Oui, la critique est utile, surtout quand elle est justifiée par des arguments historiques, doctrinaux, etc. mais ne brûlons pas les étapes : d'abord tu expliques, et seulement après tu critiques.

Merci pour ta réponse,
donc jamais de critique sans une première explication.

Evidemment, sur un simple plan logique, tu ne peux pas critiquer quelque chose sans l'avoir préalablement exposé.

Pour les commentaires (de texte, d'arrêt), il faut toujours faire la même chose :

- Citer le passage commenté ; très important, mais très peu d'étudiants le font.
- Expliquer la citation, quitte à paraphraser.
- Critiquer (critique positive ou négative) et mettre en perspective le passage commenté.

Garde en tête qu'il s'agit d'un commentaire, donc tu commentes. Après, seulement après, tu expliques.

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« Je persiste et je signe ! »

Docteur en droit, Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne.