Que pensez-vous de l'actuelle pub orangina ?

Justement, à mon avis c'est bien parce qu'elle a été refusée avec des êtres humains qu'ils se sont servis des animaux à la place.

Pour moi cette pub aurait pu être agréable si ces animaux n'avaient pas des formes aguicheuses humanisées, je trouve ça vraiment vulgaire, on sait bien qu'ils ne vendent plus que par ça dans les pub aujourd'hui, je trouve vraiment ridicule de l'imposer aussi aux animaux.

Pour moi ce n'est pas comparable, si l'homme est en string avec un fouet et l'enfant tout nu oui je penserai à ça.
Ici les animaux ont des formes provocantes, il y a assez de détraqués pour qu'on fasse des pubs qui leur permettent d'identifier les animaux à des humains.

pourquoi avec un string et un fouet ? quel rapport avec la pédophilie ?




provocantes, je trouve ce terme exagérée, je pense qu'on pourrait discuter de toutes les pubs avec des animaux ou des animations proches des humains dans ce cas ...

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"I never was someone who was at ease with happiness"

C'est une façon de parler, ça sous entendrait les rapports sexuels ... et donc ce qui choque comme les tenues sexy de cette pub le sous-entendent selon moi.



Chacun son point de vue, et pourquoi ne le pourrait-on pas ?
J'ai pris cette pub à titre d'exemple, je ne dis pas qu'elle est la seule à évoquer ça .

Envoie-les en MP à candix, elle a l'air d'adorer ça

adorer quoi ?

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"I never was someone who was at ease with happiness"

La version longue passe au cinéma avant les films pour jeunes enfants ...

Je la trouve sympa pour des adultes qui pourraient apprécier, mais vraiment déplacée pour les mômes.

Remarquez, ce n'est peut-être pas le public visé par l'Orangina ....

Je déteste cette publicité. Je la trouve laide. La panthère pour l'orangina rouge a des pattes avant ridiculement petites.

L'humanisation des animaux n'a rien de nouveau, on voit ça tout le temps dans les disneys. Mais franchement, tous nus, en string, prenant des poses comme dans les films pornos ... je déteste.

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Quand le juriste se lasse d’empiler des textes dont l’encre est à peine sèche, de réconcilier des dispositions qui se contredisent ou, tout simplement, de s’échiner à leur donner un sens, vient un moment où, guetté par le découragement, il laisse son sac au bord du chemin, s’arrête et se pose la question fondamentale, la seule qui vaille : tout cela est-il bien raisonnable ? (A. Lucas)