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Notre prof de science politique le compare à Louis-Philippe pour s'allier les hommes politiques des autres partis politiques quels qu'ils soient et nous a dit qu'à chaque époque les hommes politiques avaient eu des maîtresses mais pas au grand jour comme Sarkozy. 
Il l'a également comparé à Napoléon III.
Il nous a dit aussi que Carla Bruni et Sarkozy avaient été dans le même que Mitterrand en Arabie Saoudite.
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Jean Foyer : « Le juge de l’administration : l’administration de ce juge. »
"Juger l’administration c’est encore administrer ».
http://www.u-clermont1.fr/
-université d'excellence dans le magazine "Challenge" de juin 2009-
Tu parle de Ted Kennedy, "le vilain petit canard" et de son fils William, ce dernier accusé pour viol ?
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Jean Foyer : « Le juge de l’administration : l’administration de ce juge. »
"Juger l’administration c’est encore administrer ».
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N'empêche, je suis bien contente de ne pas avoir voté pour lui, dès le début je ne l'ai pas senti, et pour le moment il n'a rien fait de bien à mon gout.
Ah, vous savez il a augmenté la prime allocation handicapé de 1.1% il me semble que ça fait quelque chose comme 7 € de plus, et bien, ils vont aller bien loin avec ça ...
Franchement c'est le président le plus ridicule qu'on ait jamais eut, chirac il ne faisait pas grand chose, mais au moins il ne s'affichait pas et savait rester sérieux, le minimum aurait été que Sarko sache se tenir en public.
"les cxxxx, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les r'connait", Fernand Naudin, Les Tontons flingueurs.
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Nemo auditur propriam turpitudinem allegans
Je pense au contraire que c'est un des Présidents les plus malins qu'on ait eus, aussi vicieux et roublard qu'un Mitterrand, par exemple. Pour moi, Sarkozy gère parfaitement son image dans les médias, et il sait totalement ce qu'il fait. Il parvient toujours à tout faire passer en distrayant le public avec des histoires parallèles dans les journeaux à scandale ou des actions de certains de ses Ministres. Pour moi, tout est contrôlé et tout est programmé.
Ce type est malin, et c'est bien pour ça que je le trouve dangereux.
À malin, malin et demi ou comme disait Napoléon, beaucoup ont lu Machiavel, peu l'ont compris 
Si on pouvait éviter un autre Waterloo avant la fin de son mandat, ça ne me déplairait pas.
bon, je suis deg j'ai meme pas reçu de faire part
mais apparemment ca y est, ils seraient mariés
http://www.programme-tv.net/actus-tv/87 ... riage.html
en meme temps je m'enfous legerement (meme lourdement) mais ptete que ca interesse des gens
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"I never was someone who was at ease with happiness"
bah moi j'y étais, c'était trop génial
le champagne et les petits fours étaient très bien choisis
ah non excusez moi ce n'était pas au mariage de Sarko que j'étais mais à la remise des prix de ma belle et douce 
enfin il y avait quand même champagne et petits fours 
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Merci de respecter la charte du forum.
M2 - DJCE de Nancy
CRFPA de Versailles
Être dégouté du mariage de Nicolas Sarkozy ? Cela ne regarde bien que lui: sa vie privée fait l'objet d'une grande publicité simplement parce que les médias le veulent bien, la boucle est bouclée... les premiers étant les journaux de gauche à faire de grandes unes, histoire de vendre un peu plus...
Ne nous plaignons pas d'avoir une présidence décomplexée au sexe, et, plus globalement, à la vie de tous les jours que partagent 60 millions de français: il faudra bien s'y habituer, cela ira "croissant"... et c'est certainement aussi bien. 
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Master Droit public des affaires Lyon 3
Maintenant il n'aura plus de raisons pour regarder ses sms toutes les deux minutes pendant les conférences de presse à l'étranger puisque l'obstacle protocolaire est levé 
Il y a aussi les journaux de droite. Divorcé durant ses fonctions et se marier aussi me choque. Confère le topic A Batons Rompus.
Mes excuses aux administrateurs et modos. 
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Jean Foyer : « Le juge de l’administration : l’administration de ce juge. »
"Juger l’administration c’est encore administrer ».
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C'est pas un problème fanouchka, mais le topic des humeurs s'adapte moins bien à la passionante vie de notre président
franchement c'est cool pour lui !Mais bon j'en ai rien a foutre et ca ne m'interresse pas du tout !Il peut divorcé, se remarier juste apres, ou meme faire une partouze à l'élysée si il veut lol
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Vice-Président BDE PORTALIS
Faluchard alias Zedouille
[img:zwjmqold]http://smileys.sur-la-toile.com/repository/Messages/0032.gif[/img:zwjmqold]
Apres tout une partouze à l'élysée c'est surement plus simpa que les gardens party lol
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Vice-Président BDE PORTALIS
Faluchard alias Zedouille
Bonjour,
[size=150:36iniwmi]La vie privée, principal reproche fait à Sarkozy[/size:36iniwmi]
N.B.
14/02/2008 | Mise à jour : 23:00 | Commentaires 146
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Pour 82 % des personnes interrogées, le comportement privé de Nicolas Sarkozy «correspond mal» à l'idée qu'elles se font d'un chef de l'État.
Selon un sondage Opinionway pour Le Figaro, une très forte majorité de Français critique le comportement du chef de l'État dans ce domaine.
Problème de style. En plein trou d'air, à un mois des élections municipales, le président de la République Nicolas Sarkozy est confronté à une dégradation de son image dans tous les sondages d'opinion. Comme le confirme l'enquête OpinionWay pour Le Figaro et LCI, l'échantillon représentatif interrogé sur Internet par l'institut est partagé sur sa manière de présider. Deux semaines après son mariage avec la chanteuse Carla Bruni, c'est essentiellement la vie privée du président qui nuit à son image. Pour 82 % des personnes interrogées, son comportement privé «correspond mal» à l'idée qu'elles se font d'un chef de l'État. Même son propre électorat est sceptique : seulement 35 % des personnes interrogées approuvent son attitude.
«C'est un jugement quasi unanime de l'opinion, parce qu'on touche à l'imaginaire présidentiel», explique le directeur des études politiques d'OpinionWay Bruno Jeanbart. «Les Français ont le sentiment que Nicolas Sarkozy s'occupe moins d'eux que de sa vie privée.» À ce ressenti s'ajoute aussi «l'impatience» des Français qui attendent des résultats de la part du chef de l'État. D'où la dégringolade du président dans toutes les enquêtes de popularité.
Sur les autres aspects de son «mode de présidence», l'électorat de droite continue de soutenir Nicolas Sarkozy. Son style direct (sa «manière de s'exprimer» ) est toujours apprécié. Mais le chef de l'État perd des points dans plusieurs catégories de l'électorat. Si bien que pour 51 % des personnes interrogées par l'institut, «sa capacité à diriger son gouvernement correspond mal » à l'idée qu'ils se font d'un chef de l'État. Les Français sont à la recherche d'un «équilibre», estime Bruno Jeanbart : un président «dans l'action» mais qui sais aussi faire travailler une équipe.
La politique étrangère, domaine réservé du chef de l'État par excellence, permet à Nicolas Sarkozy de redresser la barre. Malgré la visite très controversée du dictateur libyen Kadhafi reçu avec les honneurs à Paris en décembre, 58 % des personnes sondées approuvent «la façon dont il reçoit ses homologues» . «Sur le moment il y a pu y avoir un trouble, analyse Bruno Jeanbart. Mais là, on était sans doute sur un effet conjoncturel».
Pour stabiliser et peut-être redresser son image, le président devra sans doute attendre le lendemain des municipales. Or, ces élections s'annoncent favorables au Parti socialiste. Questionnées sur leur pronostic de victoire, les personnes entendues misent à 34 % sur la gauche (+3) contre 31 % (-1) pour la droite. Bruno Jeanbart y voit peut-être un effet de l'imbroglio de Neuilly-sur-Seine, où «la droite a du mal à s'unir».
La distinction dans les pronostics de victoire est beaucoup plus nette suivant le type de communes. Les habitants des grandes villes s'attendent à une victoire de la gauche tandis que dans les villes de moins de 100 000 habitants, c'est la droite qui part favorite.
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[size=150:36iniwmi]Sarkozy affronte ses premières turbulences dans les sondages[/size:36iniwmi]
Charles Jaigu
31/01/2008 | Mise à jour : 21:57 | Commentaires 107 .
Nicolas Sarkozy ne recueille plus la confiance que de 41 % des Français. Crédits photo : AFP
Le chef de l'État a perdu ses soutiens à gauche et au centre, mais garde la confiance des électeurs UMP.
Depuis plusieurs jours, les mauvais sondages pleuvent comme à Gravelotte sur l'Élysée. Dernier en date : le sondage Sofres pour le Figaro Magazine, où Nicolas Sarkozy ne recueille plus la confiance que de 41 % des Français, soit une baisse de huit points. Un sondage qui confirme toutes les enquêtes d'opinion menées ces dernières semaines.
La gauche, bien sûr, s'engouffre dans la brèche ouverte par le «président blingbling». Nicolas Sarkozy «paie cher ses vacances», a ironisé jeudi François Hollande. «Certes, elles ne lui ont pas coûté, mais politiquement elles lui coûtent», s'est-il réjoui. Mais la fin de l'état de grâce présidentiel dans les sondages n'est pas le seul sujet d'inquiétude pour la majorité. À cinq semaines des élections municipales, l'état-major de l'UMP ne cache pas son inquiétude. «Nous nous attendons à perdre une bonne trentaine de villes» , avance un cacique du parti, évoquant même, en confidence, le spectre d'un basculement à gauche de Toulouse et Marseille !
«Rien n'a changé sur le fond»
Face aux inquiétudes des uns ou aux sarcasmes des autres, l'Élysée affirme sa détermination à ne pas se laisser impressionner par cette première houle. Nicolas Sarkozy «est là pour faire des réformes, pas pour être populaire par principe», a répondu hier le porte-parole de l'Élysée, David Martinon. Certes, depuis son entrée au gouvernement en 2002, le président n'avait jamais connu un tel effritement. Il faut remonter à sa traversée du désert, entre 1995 et 2002, pour trouver des courbes de popularité plus basses. Mais sa popularité reste «au-dessus de celle de Chirac après 1995», corrige un sondeur d'Ipsos.
«Rien n'a changé sur le fond : les Français le mettent loin devant les autres sur sa capacité à réformer, sur sa crédibilité et son énergie», réagit-on aussi à l'Élysée. «Nous avons perdu le soutien d'une partie de la gauche et du MoDem, mais nous sommes soutenus à 90 % par notre électorat», avance aussi l'Élysée. «Pour un chef de l'exécutif, dans un pays européen, l'impopularité est une banalité», tranche de son côté un conseiller de Nicolas Sarkozy.
Alors que chacun ressent les premiers doutes, l'Élysée se refuse à attribuer la moins bonne tenue de Sarkozy dans les sondages à sa relation avec Carla Bruni. Tout au plus est-ce un élément supplémentaire, juge-t-on. «Avec ou sans Carla Bruni, la baisse était inévitable , et elle va durer.» Le cœur du problème, selon l'Élysée, est le suivant : «Les Français ne voient pas de solutions qui les sortent de leur pessimisme.» Face à cette donnée de fond, Sarkozy veut labourer «le terrain», pour expliquer, vendre et illustrer les premières réformes de son quinquennat. «Nous réformons tous azimuts, ce qui manque c'est une pédagogie pour que nos réformes soient lisibles.» Aujourd'hui à Nice, lundi à Gandrange, mardi sur les sites d'Alstom, près de La Rochelle, vendredi à Paris, pour lancer le plan banlieues : le chef de l'État entend ne plus «lâcher» le terrain pour justifier les réformes engagées. Dimanche, son bras droit, Claude Guéant, montera au front sur Europe 1.
Mais à un mois environ du premier tour, l'intérêt pour les municipales des personnes interrogées par OpinionWay demeure faible. Pour 50 %, la campagne n'a pas encore commencé.
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Jean Foyer : « Le juge de l’administration : l’administration de ce juge. »
"Juger l’administration c’est encore administrer ».
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-université d'excellence dans le magazine "Challenge" de juin 2009-
En ce qui concerne la "peoplisation" du Président de la République , mon avis sur le sujet est plutôt négatif (comme la plupart des gens je suppose). Attention tout n'est pas de la faute du président uniquement , les journalistes y sont pour beaucoup. Au départ la surmédiatisation de NSarkozy venait , je le concede , de lui même mais depuis quelques temps les journalistes ont reprit le flambeau si je puis dire et s'acharnent a nous faire bouffer du Sarkopoeple a longueur de temps. Je pense que le fait qu'il ai voulu se marier en toute discretion était une facon pour dire qu'il comprennait l'avis des francais (si j'ose dire comprendre ....) et d'un autre coté ne serait ce pas une ruse pour montrer que finalement la faute tiens aussi et pour beaucoup des journalistes?
Concernant les sondages en baisse, attendons de voir, nous ne somme qu'au début de son mandat et si je ne m'abuse il me semble qu'en général les points ont toujours tendance a baisser durant le début (Ok pas autant et surtout pas jusqu'au point que Fillon surpasse le PDR ... )
Toujours est il que je pense qu'il faut laisser faire on verra bien par la suite.
Ensuite les francais ont beau dire qu'ils en ont assez de cette surmédiatisation combien on acheté les nombreux livres sur l'ex premiere dame de france et sur la nouvelle premiere dame de france? Si les journalistes en parlent c'est que ca se vends ... donc faut arrêter un peu aussi (biensur pas tout le monde n'est dans ce cas !)
Ce qui est plus genant en revanche c'est de la facon dont la France est percue à l'étranger a cause de cela; moi qui habite juste a coté de la frontiere avec l'Allemagne, et captant donc les chaines allemandes , ils ne s'en sont pas privé non plus et n'ont pas tari de critiques acerbes concernant la vie du président et surtout la FRANCE.
Apres le reste ne concerne que lui mais qu'on entache pas l'image de la France déjà pas tres glorieuse comme ca pour certains pays ...
biensur ce n'est que mon avis
En même temps, on s'est aussi souvent moqué des autres pays : de la Belgique avec leurs énormes problèmes de gouvernement, de la royauté anglaise avec tous leurs scandales, de Bill Clinton avec Monica, etc. C'est le jeu, je pense, de rigoler des autres pays : comme ça, on se croit meilleurs qu'eux. Il y a toujours une sorte de concurrence entre les peuples (exacerbées par le sport mondial, je crois).
Après, c'est vrai que Sarkozy veut faire machine arrière en ce moment au niveau de sa médiatisation, et c'est bien. Seulement, c'est un peu tard, et il passe quand même pour celui qui veut avoir le beurre et l'argent du beurre : les bénéfices mais pas les conséquences.
Je crois vraiment qu'il pouvait s'en douter que ça ne s'arrêterait pas et que ça ne ferait qu'empirer ; si non, il n'avait qu'à demander à son ami Johnny, ça aurait été plus simple. A partir du moment où la machine est lancée, elle ne s'arrête plus. Jusque là, nos politiques ne faisaient pas la une des journeaux people, et c'était très bien. Maintenant, ça devient presque pire qu'aux Etats-Unis, et on approche de la Grande Bretagne ! Ca fait peur.
Par contre, il n'est pas le seul dans l'histoire, c'est sûr : l'attitude du Nouvel Observateur (qui a publié le "fameux" SMS) est pathétique et hautement condamnable.
Tu as sans doute raison concernant la concurrence des peuples ( l'histoire aussi fait que nous somme dans cette situation je pense)
Pour moi, Sarkozy c'est un peu comme un enfant qui a recu son jouet a noel et qui fait le fou avec . Maintenant , il se calme il évolue peut etre puis je dire, ce qui est bien , a force de vouloir etre partout , on ne peut pas tout faire ...
De plus je pense qu'aujourd'hui l'importance des médias est de plus en plus considérable en ce sens que les années précédentes si on y réfléchi les journaux poeples étaient bien moins développés et concernant la télé a ce jour, presque tout les foyers en ont ce qui je pense contribue a cette poeplisation et qui est une des raison pour lesquelles avant, les présidents s'exposaient moins (encore que Chirac, c'était plus dans son caractere) mais c'est un facteur également assez interessant je pense.
Concernant le SMS c'est plutot scandaleux ce qui s'est passé . Par contre je ne comprends pas pourquoi tout le monde s'insurge du fait que N.Sarkozy ai fait une action en justice en demandant uniquement 1E.. C'était plutot un proces symbolique qui montre une fois de plus qu'il tiens a arreter tout ca ... Quand je vosi dans la rue que maintenant tout les journaux s'inquiete de savoir si il y aurait un bébé a l'Elysée ca me dépasse..
Le nouvel observateur a été retiré de la vente.
Les livres sur Cécilia devaient être retirés de la vente, mais elle a perdu son procès.
Carla voulait plus de dommages et intérêts qu'elle n'a obtenu.
On dirait la censure comme dans les années 60.
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Jean Foyer : « Le juge de l’administration : l’administration de ce juge. »
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