Je suis bien d'accord avec vous !! Je pense également qu'il existe un manque de transparence quant à cette filière. On devrait informer les étudiants le plus tôt possible de la réalité du marché du travail. Trop de gens rêvent en se voyant avocats internationaux au barreau de New-York, alors que c'est généralement tout l'inverse qui les attend.
Re-moi :)
Suite à un bug sur mon profil je continue avec ce pseudo.
Je pense qu'une difficulté des bac+4/5 est que par exemple une connaissance sans M2 trouvait pas car a un M1 droit du travail pas de M2. on lui dit sur bac+2 en droit du travail vous avez trop. sur bac+5 pas assez.
Et le privé recrute à la tête du client. Donc une part de hasard joue c'est vrai.
Au lieu de dire on peut être assistant puis juriste. J'avoue que je trouve que les mecs des années 80 ont bénéficié d'une chance ils bossaient retrouvaient un job du jour au lendemain maintenant faut certifier chaque chose qu'on dit c'est assez chiant car eux on leur demandait jamais de certifier comme ils le demandent. Il existe même des certificateurs d'orthographe.
Je dirais que la génération des 30 glorieuses est une génération qui a été assez gatée et est très exigeante envers les jeunes (quand on sait que plein de vieux ont bossé avec juste un bac il y a de quoi se poser des questions sur leur logique de recrutement). Je pense que personne je leur demandait des études aussi longues et autant d'expérience car c'est bien les 2 trucs qui sont un frein dans ce pays avec l'âge.
Moi j'ai bossé un peu en droit et j'ai remarqué que dès qu'on dévie un peu d'une trajectoire linéaire les gens vous font galérer on vous demande de justifier. Justifier de quoi et ils sont qui pour juger les autres ?
Le fait aussi d'embêter les gens avec des profils similaires de clones. du genre un assistant ne peut pas être chargé de clientèle alors que dans les 2 cas il a affaire à un public mais son contrat ne marque pas "j'ai été assistant de clientèle" j'ai la même étiquette.
Ce besoin de toujours fliquer le passé des gens. Pas le droit de changer ou de reprendre des études si on en a envie (pourquoi pas ?).
Ensuite une personne prend un job dans un domaine car c'est là où on lui a répondu elle ne choisit pas son patron elle prend le recruteur qui dit oui le 1er. Donc souvent les gens disent "vous avez choisis" oui et non. On prend le type qui nous donne notre chance de là à dire qu'on choisit.... Et le recruteur de dire vous avez fait ca c'est un choix ben non pas forcément faut comprendre aussi que si on vous dit non sur un poste (en plus souvent personne vous explique pourquoi pas vous et pourquoi plus un autre ?). Au bout de 1 an la personne est considérée comme périmée en termes de connaissances et les nouveaux diplômés sortent donc elle se retrouve comme une imbécile avec un diplôme obsolète. On dit si vous n'êtes pas en poste c'est que vous n'êtes pas compétent c'est un peu ridicule car forcément si on ne laisse pas la personne débuter elle sera hors poste c'est la mentalité française le problème car chez les anglais les gens ne sont pas obsédés par les diplômes ni sur votre passé. Une quebecoise me le disait elle comprend pas les recruteurs français. Chez eux les gens peuvent être éboueur puis bosser en droit ensuite en refaisant un truc même à 30 ans c'est pas un problème. En France si vous vous plantez de branche vous êtes condamné à faire un peu le même truc toute votre vie.
Je pense que c'est lié au fait que les patrons ne sont pas des entrepreneurs. même si je comprends qu'un patron ne confiera pas son job à quelqu'un de peu expérimenté.
En fait je pense qu'on ne croit pas assez dans la jeunesse et que les vieux ont peur des jeunes peut être peur que les jeunes fassent mieux qu'eux changent leurs habitudes de vie.
Il y a un anti-vieux et un anti-jeune en France. Il y a aussi l'idée qu'en France on n'a pas trop envie de payer des gens. Par exemple Montagnier a quitté la France alors que le mec a découvert le virus du sida. donc on perd des gens doués car on ne veut pas payer.
Coté droit mon avis est qu'il faudrait rattacher systématiquement les formations à des entreprises comme ça personne serait dans le vide sans expérience vu que tout serait lié automatiquement à une boite.
Je pense que c'est voulu par l'Etat. Il n'y a pas de travail pour tous et c'est une façon d'éliminer les gens. Un prétexte en fait.
Je reconnais que j'aurais préféré être né dans un pays anglo saxon. je trouve qu'ils sont plus terre à terre ils n'emmerdent pas les gens avec leur profil une personne peut bosser dès ses 16 ans.
en France + de 45 ans= vieux
Moins de 23= trop jeune
Pas assez ceci et trop cela. pas assez d'expérience trop de diplôme trop d'expériences diverses. Il manque toujours un truc.
Il n'y a pas de formation continue donc si vous tombez sur quelqu'un qui vous forme pas vous vous retrouvez dégagé quand vous êtes vieux sans être formé.
Et j'ajouterais que si on prenait tous les chômeurs de pole emploi on pourrait monter plusieurs entreprises rien qu'en prenant tous les chomeurs qui s'y trouvent (au lieu de dire le chomeur n'est pas en poste il est fainéant /pas compétent (car personne parie dessus car il a un trou donc ca veut dire qu'il a forcément un souci. mais bon le mec personne parie dessus donc il risque pas de s'en sortir)
Les mauvaises expériences existent mais certains patrons sont aussi orgueilleux et ne se remettent pas en question. Et il y a une forme de solidarité patronale.
Je voudrais partager cette vidéo. Je trouve que cette dame a raison.
https://www.youtube.com/watch?v=aMLm6DPfvdc
Cette personne a travaillé à l'étranger et dénonce le conformisme français rien qu'au niveau éducatif. Et elle a raison.
Perso j'ai fait une reconversion dans mon parcours et donc j'avais bossé avant. Et quand je cherchais j'avais affaire à des RH plus jeunes que moi qui me disaient bah vous venez d'ailleurs donc vous ne valez rien et si vous avez changé c'est parce que vous n'étiez pas doué dans votre branche.
un copain diplômé ingénieur informatique avait fait plein de taff genre webmaster technicien informatique etc. et on lui a dit si vous avez fait tout ça c'est parce que vous n'êtes pas bon dans un seul de ces domaines.
et donc il en a eu marre qu'on lui dise ça et s'est foutu à son compte.
Mais bon difficile de faire ça avec des études de droit.
Moi à refaire je ferais de l'informatique car j'aime les nouvelles techno.
Perso je suis assez touche à tout j'ai eu du mal à trouver ma voie et en France on n'aide pas les gens à trouver leur voix on n'a pas le droit à l'erreur de se chercher il faut tout faire de 18 à 25 ans et ca c'est un truc qui me soule dans cette mentalité française. Car quand on a 18 ans on connait rien du marché de la vie des métiers on voit avec tel truc on peut aller là ou là personne ne parle des métiers moins connus. Il y a trop de formations au niveau master et chaque master vous enferme dans un domaine donc s'il n'est plus porteur il faut encore refaire un diplôme. Et le temps de le finir votre diplôme est déjà périmé car le droit change tout le temps. en plus apres on vous dit vous avez 2 diplômes donc vous allez demander plus cher. Alors que la personne a refait un truc pour trouver car trouvait pas dans son domaine.
Le problème vient à mon sens beaucoup d'une certaine forme d'hypocrisie française.
Je pense qu'il y a une part de chance. Par exemple ma soeur a passé 2 fois le concours de prof de français l'a raté à 0,5 point et 1 point l'autre fois ce qui est moche car c'est peu. Un autre a fait celui de prof de maths l'a passé 4 fois l'a pas eu car un coup faut avoir 12 il a 11 un coup il a l'écrit et pas l'oral donc il a perdu 4 ans à tenter des concours foireux alors que le mec est motivé. donc je trouve ca assez injuste. On devrait regarder la motivation des gens c'est mon avis. Car quelqu'un qui a tenté 4 fois je trouve vraiment injuste de pas lui donner sa chance.
Et des exemples comme ça j'en ai beaucoup dans mon entourage. Par ex mon voisin voulait être pompier. Il était bénévole chez les pompiers. A raté le concours (s'est fait casser car au début faisait des jobs alimentaires en préparant son concours et on lui a dit bah vous avez fait ça et ca donc on le cassait car il venait d'ailleurs).
Alors que le mec faisait pompier bénévole tous les weekend le type ramassait des gens qui étaient accidentés sur la route donc je trouve que le marché français est dégueulasse avec les gens parfois mon voisin a du mérite et mérite bien plus qu'un diplômé de concours de bosser chez les pompiers.
Du coup il bosse comme vendeur dans une boutique de pompiers. Mais je trouve vraiment injuste qu'on lui aie pas donné sa chance et en droit il y a un peu de ceci aussi.
Hélas, le principe du concours est de ne prendre que les meilleurs... C'est un système qui a ses avantages : on ne recrute qu'aux compétences et non au physique, à l'origine sociale, au sexe... Et les études de droit justement, mènent essentiellement à des concours.
Bonjour
Je remercie sphinx pour son intervention que je rejoins en tout point.
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Bonjour,
Alors selon vous, quels seraient les métiers les plus porteurs en droit ? Ceux où le taux d'insertion est relativement élevé/les domaines qui embauchent? ?
Bonjour
Si je prend l'exemple de mon M2 Droit des affaires et du patrimoine, beaucoup d'étudiants trouvent du travail dans le service juridique de banques, assurances, mutuelles et dans une moindre mesure dans les agences immobilières.
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Je me permets de faire quelques réflexions après parcouru le sujet :
1/ Ne pas mettre trop en avant les taux d'insertion professionnelle. Ce n'est qu'un facteur parmi d'autres, mais je le relativise beaucoup pour ma part. Insertion professionnelle veut seulement dire "étudiant qui a trouvé un boulot suite à la formation suivie". On ne sait pas de quel boulot il s'agit, on ne connait pas le salaire de base, bref on sait juste qu'il a un travail. Quand je vois le nombre d'étudiants qui exercent dans des domaines où le droit est très peu, pour ne pas dire pas du tout présent, après un M2, ça fait beaucoup relativiser.
Faire le raccourci l'étudiant a trouvé du boulot grâce à la qualité de la formation suivie, ou, encore pire, affirmer que c'est le M2 qui a permis à l'étudiant d'obtenir ce poste, c'est largement faux. D'ailleurs, quand un M2 ou une autre formation se contente d'exposer le taux d'insertion, mauvais signe. Quand il y a un annuaire des anciens, souvent signe de bonne formation, il suffit de consulter, et quand la majorité de la promo exerce dans le domaine de spécialisation visé, avec des bons salaires de départ, là on peut dire qu'il y a une formation de qualité.
2/ Oui, le droit est une filière très ouverte, mais il faut bien comprendre que les bons débouchés vont... aux bons étudiants, ce qui est logique. Or, sur une promo d'étudiants de L1 en 2016, beaucoup vont rester sur le carreau au fil des années et beaucoup d'autres vont avoir un cursus moyen, les débouchés sont donc incertains.
Bref, tout ça pour dire qu'il n'y a aucune filière magique, mais que seul l'investissement et les bons résultats mènent quelque part.
__________________________
« Je persiste et je signe ! »
Docteur en droit, Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne.
Bonsoir,
C'est un vaste débat, et j'ai trouvé vos interventions intéressantes. Si vous avez un peu de temps, je vous invite à faire de l'archéologie et à fouiller dans les anciens sujets du forum, on a déjà évoqué ces questions à plusieurs reprises et vos questions devraient y trouver d'autres réponses.
Il y a quelques points sur lesquels je souhaiterais réagir.
Tout d'abord la question du salaire. C'est un point que je souhaite fortement relativiser. Il ne faut surtout pas utiliser uniquement ce critère pour juger de la réussite ou non, ou de l'intérêt d'exercer telle profession! Voyez votre futur métier dans sa globalité: conditions de travail, intérêt de la profession, conciliation vie privée-professionnelle, etc... Vous allez passer une bonne partie de votre vie au boulot, donc il me semble préférable de gagner un peu moins mais de ne pas y aller en trainant les pieds.
Pour ce qui est du succès sans piston, là aussi c'est à prendre avec du recul. Oui, bien entendu, il est plus facile de s'en sortir en étant "fils de". Mais c'est valable en droit comme dans toute autre profession, médecin, garagiste, boulanger ou coiffeur. Oui, la vie est injuste et imparfaite, il faut faire avec c'est tout.
Ceci dit, il est tout de même parfaitement possible de s'en sortir sans connaitre personne et sans capital de départ. Je parle de vécu et j'ai plusieurs exemples en tête dans mon entourage. Croyez en vous! Faites des choix judicieux dans votre orientation. Et en bossant il est encore tout à fait possible de faire son trou aujourd'hui. Parole d'ancien étudiant ordinaire (ni bon, ni mauvais, ni pistonné).
Je pense tout de même que le droit fait partie des filières les moins rentables en terme de ratio difficulté/"récompense" à la sortie. Ce sont des études longues, exigeantes et prenantes, à l'inverse d'autres filières moins dévoreuses en temps. Mais en core une fois, il faut prendre en compte le facteur "passion" qui joue énormément...
Bonsoir,
Je ne fais que passer et souhaiterais vous donnez une idée de la rémunération d'un avocat au bénéfice de la protection juridique.
il faut prendre en compte le facteur "passion" qui joue énormément...
Bonne continuation.
Attention,honoraires et rémunération sont deux choses différentes! Pour avoir la rémunération il fat retirer tous les frais de fonctionnement de l'étude.
Re,
Attention le chiffre d'affaire n'est pas le bénéfice
une idée de la rémunération
Tout à fait. Et en toute sincérité, je dirai que le nombre d'avocats qui gagnent réellement bien leur vie est assez... réduit. La grande majorité d'entre-eux gagnent petitement ou moyennement leur vie... Quand on connait la durée des études et les horaires au bureau, on se dit qu'il faut vraiment être passionné pour se lancer là-dedans. Mais encore une fois, le fils de l'avocat réputé du coin n'aura aucun soucis.
@Portalys
Je ne connais pas particulièrement la profession d'avocat,
mais, au même titre qu'un médecin, je pense qu'il faut le faire par passion.
Par contre je ne comprend pas
le fils de l'avocat réputé du coin n'aura aucun soucis. elle est ou la passion...
A savoir que la demande de prise en charge par la protection juridique est obligatoire depuis quelques années lors d'une demande d'aide juridictionnelle et vous rémunèrent certainement mieux que l'aide juridictionnelle ou plutôt à votre juste valeur (du moins je pense)
Le fils d'avocat, surtout si l'avocat en question est réputé, n'aura aucun mal à effectuer des stages chez Papa dès la licence. Il pourra ainsi se forger un CV en béton. Une fois sa formation terminée, il pourra bosser avec Papa... Et quand Papa prendra sa retraite, le fils reprendra l'affaire avec le carnet d'adresses. Idem pour le fils de notaire, d'huissier, de commissaire priseur... Pour toutes ces professions touchant directement au droit, l'origine sociale facilite énormément les choses. Déjà que les études ne sont pas faciles...
Le nier, c'est se fourrer le doigt dans l'oeil. Je ne parle évidemment pas des professions juridiques accessibles sur concours, quoi qu'on observe que la majorité des entrants à l'ENM viennent de... Sciences-Po Paris. Une élite qui se reproduit, en quelque sorte.
Hello
Je pense que vous avez quand même une idée assez orientée sur les fils de. Exemple, quand j'étais au lycée un copain était fils de médecin et pourtant il n'est pas médecin. Donc attention les généralités c'est dangereux. Par exemple le fils de médecin ou de notaire il doit passer le concours comme les autres. On ne lui donne pas le diplôme il travaille aussi.
Donc dire tous les fils de X profession sont des gros privilégiés il y a aussi des gens qui ont de l'éducation.
Après bien sûr qu'il y a des inégalités. Je me souviens aussi d'une fille fils du prof de maths et qui avait des réflexions de personne un peu jalouses. C'est un peu immature comme attitude.
Apparemment Olivier n'est pas fils de notaire. etc.
Jusqu'à preuve du contraire, il n'existe pas de "charge médicale" qui s'hérite de père en fils...
http://www.liberation.fr/societe/2014/09/17/les-notaires-des-nantis-pfff-archi-faux_1102600
Je cite (ok pas le cas de tous mais vous devriez lire cet article)
" Nous ne sommes pas une profession de privilégiés. Regardez-moi, j’ai commencé par un CAP.» Les dix salariés de l’étude, «montés» eux aussi pour participer au rassemblement, tombent des nues : «Ah bon ?», entend-on dans notre dos."
=> quand on lit ce lien on voit que la majorité de son personnel prenait le gars pour un mec qui a hérité de son père normal en France quand une personne réussit les gens sont très jaloux (un peu comme votre raisonnement). Preuve que tous les gens devenus notaires sont pas des fils de riche.Si certains sont des rentiers (ca existe surement) certains sont je pense aussi des gens qui ont bossé.
Un CAP qui devient notaire par la suite ? Oui, c'est sans doute possible, mais ça reste extrêmement marginal. Cette personne a réussi l'exploit d'accéder et de réussir à l'université en partant de "tout en bas". Mais dans la majorité des cas, les notaires à leur compte sont eux-mêmes des fils de notaires... Ca n'a rien de nouveau ni de surprenant : cette profession est très fermée et ce depuis toujours... Je ne parle pas des notaires salariés mais bien des notaires patrons d'eux-mêmes.
Si votre motivation est l'argent, ben devenez banquier ou homme politique. Par contre il faut aimer les produits bancaires et le monde de la finance.
La loi macron a d'ailleurs pour but de permettre aux non notaires de devenir notaire sans être fils de.
Et puis vous pouvez être notaire salarié c'est un boulot qui gagne bien. Même un clerc gagne je trouve bien sa vie. Mais vous pensez débuter avec quel salaire ?
Je ne parle pas d'argent mais simplement du fait d'être notaire à son compte... C'est l'image que l'on a le plus souvent du notaire, celui qui possède sa charge et sa propre étude. Le notaire salarié se rapproche du clerc de notaire.
De plus tous les notaires patrons ne gagnent pas ce que vous imaginez. Votre descriptif concerne surtout les notaires de la ville.
Certains notaires travaillent tard. Et beaucoup ont débuté sur le job de clerc puis ont investi dans des parts.
Je pense que c'est le cas d'Olivier. Ca serait bien d'ailleurs qu'il intervienne sur ce topic.
Malheureusement, il n'est plus possible pour un clerc de devenir notaire. La passerelle a été supprimée par la loi Macron